Griet Demeestere a été visiteuse au centre fermé de Bruges pour le JRS Belgium. Portant en elle les expériences des personnes détenues, elle est devenue accompagnatrice de familles laissées en liberté. Elle explique pourquoi le JRS, en collaboration avec de nombreux partenaires et avec le soutien de trois fonds différents, veut chercher un (…)
La crise du coronavirus a touché fortement nos vies. Nous espérons pouvoir peu à peu faire profit de ce temps-là. Quand nous disons ‘nos vies’, nous entendons aussi celles des migrants. Qu’il s’agisse de réfugiés reconnus, de demandeurs d’asiles ou de personnes sans papiers, les migrants sont souvent extrêmement fragiles devant l’impact d’une (…)
Les bureaux, tant régionaux que nationaux, du JRS- Liban ainsi que l’école et le centre social de Beyrouth ont été gravement endommagés par la récente explosion. Ces bâtiments se situent tous en effet à 1,5 kilomètre seulement du cœur de la déflagration.
Or cette explosion est survenue à un moment de grande inquiétude sociale et économique (…)
Nos collaborateurs visitent depuis déjà de nombreuses années au moins trois centres fermés (Bruges, Merksplas et Steenokkerzeel) en Belgique. Dans ces centres sont détenus des migrants et des réfugiés (non reconnus) en attendant l’issue des procédures (compliquées) qu’ils ont engagées. Les familles avec de jeunes enfants qui doivent séjourner (…)
Suppression temporaires des visites en centres fermés
Le JRS ne peut plus effectuer de visites dans les centres fermés. Les visites dans les maisons de retour sont également suspendues. Mais nous continuons à penser aux personnes que nous visitons habituellement. C’est pourquoi nous restons à la disposition des détenus par téléphone. Dès que (…)